Quel bonheur d’avoir réalisé ce musée vivant, d’avoir sauvé des friches industrielles ces mécaniques qui fonctionnent à la demande pour mieux comprendre cette époque ou l’on retrouvait beaucoup en France des métiers à tisser avant d’être engloutis par des politiques budgétaires, rationnelles et enfin la mondialisation et ses ravages au sein des populations rurales ; ici en plus de voir on peut sentir des odeurs de rouages mécaniques, de tissus et bobines, huiles de lin et graisses pour ces machines qui ont vu tant d’ouvriers et ouvrières comme on peut se l’imaginer en voyant le petit film des frères Lumière « la sortie d’usine à Lyon » suivra un autre document sur le métier Jacquard